Artiste polynésienne
Lorsque l’on m’a mit le pied à l’étrier au tatou et que l’on m’a permise il y a 7 ans de piquer ma première peau, j’ai su que c’était ce que je voulais faire, et rien d’autre.
Le tatouage à ce même moment m’a apparut comme une évidence comme un coup de foudre au détour d’une rue sombre frappé en plein cœur !
A l’époque avec un bac pro graphiste-infographiste, il était compliqué de trouvé un travail dans lequel je pouvais m’épanouir… Maintenant il m’arrive d’oublier que j’ai un bac en poche…
Le tatouage à tout balayé et me permet aujourd’hui d’être toujours présente et d’aimer ce que je fais chaque jours, et je m’efforce de faire chaque motif avec mon cœur et que cela devienne indispensable.
Il m’a permise aussi de trouver un équilibre « sociaux-professionnel » que je n’avais absolument pas !
Toutefois et hormis le fait d’être une femme tatoueuse dans ce milieu en plus d’être métisse polynésienne née en France il a fallu, et il le faut encore maintenant démontrer que j’ai ma place et que je peux tatouer du polynésien mais aussi d’autre style.